Ils récitaient pourtant aussi des litanies mélodieuses, dans une langue plutôt indéchiffrable et austère, comme un texte irrémédiablement corrompu toujours prêt à retentir et qui toujours fléchit. Comme croasse un chien ailé, un matin infranchissable, sa bouche baille haut et il se vide de son sang.
in "Histoires à engloutir en profondeur", 1983, Kedros.
Traduction Marie-Laure Coulmin Koutsaftis.